Vernissage de la version française du livre « Les défis de la conduite des affaires de l’Etat au Nigéria » de SEM Muhammadu Buhari.
Le Président de la République, Chef de l’Etat, SEM Mohamed Bazoum et son homologue de la République Fédérale du Nigeria, SEM Muhammadu Buhari ont pris part jeudi après-midi à Niamey à la cérémonie de vernissage de la version française du livre « Les Défis de la conduite des affaires de l’Etat au Nigéria » de SEM Muhammadu Buhari.
La cérémonie s’est déroulée en présence notamment du Président de la République de Guinée-Bissau, SEM Umaro Sissoco Embalo, Président en exercice de la CEDEAO, du Président de Transition, Président de la République du Tchad, SE le Général Mahamat Idriss Deby Itno et de l’ancien Président de la République du Niger, SEM Issoufou Mahamadou, Président de la Fondation FIM.
De nombreuses autres personnalités notamment le Président de l’Assemblée Nationale, SEM Seini Oumarou, le Premier Ministre SEM Ouhoumoudou Mahamadou, le Haut Représentant du Président de la République, M. Foumakoye Gado et les Présidents des Institutions de la République étaient également présentes à cette cérémonie.
Le Président Mohamed Bazoum, ses homologues de Guinée Bissau et du Tchad et l’ancien Président de la République Issoufou Mahamadou, ont, dans leurs témoignages, retracé les hauts faits du Général Muhammad Buhari, tout au long de son parcours professionnel et d’homme d’Etat.
Ces témoignages font surtout ressortir que SEM Muhammadu Buhara est un homme d’exception qui a marqué l’histoire de son pays, un grand homme doté de qualités humaines intrinsèques, un patriote, un ami sincère du Niger, un artisan infatigable de la solidarité dans la sous-région, un sage, apprécié pour son engagement sans faille en faveur de la paix.
Le Président Mohamed Bazoum, initiateur de cette cérémonie de vernissage, a remercié le Président Muhamadou Buhari d’avoir accepté d’être ici à Niamey et de « nous donner cette belle occasion de le célébrer pour ce qu’il est et pour ce qu’il représente pour nous nigériens mais certainement aussi pour bien d’autres africains.»