Moussa Dadis Camara, l'ancien chef de la junte militaire au pouvoir à l’époque du massacre du 28 septembre, a été appelé à donner sa version des faits ce lundi 12 décembre. La répression meurtrière a fait 157 morts, des centaines de blessés, plus de cent femmes violées.
Avec notre envoyée spéciale à Conakry, Charlotte Idrac
Moussa Dadis Camara avait affirmé être malade, lundi 5 décembre, et ne pas être en mesure de comparaître, mais cette fois, il se dit prêt « à livrer sa part de vérité ». « Est-ce que vous vous sentez mieux ? » a d’abord demandé d’emblée le président du tribunal. Moussa Dadis Camara acquiesce.... suite de l'article sur RFI