De plus en plus visible, la présence des Émirats arabes unis au Sahel ne se traduit pas, ou pas encore, par un déploiement militaire. Mais le souci de contrer l’expansion des groupes jihadistes est très clairement affiché.
Fin novembre 2022, dans la zone des « trois-frontières ». À découvert dans le Liptako-Gourma, aux confins du Mali, du Niger et du Burkina, des centaines de jihadistes de l’État islamique au Grand Sahel (EIGS) prêtent allégeance au nouveau calife de l’État islamique. Son nom : Abou al-Hussein al-Husseini al-Qourachi.... suite de l'article sur Jeune Afrique