L’Office des Nations unies contre la drogue et le crime (UNODC) vient de publier un rapport qui tente de tracer la provenance des armements utilisés dans les drames qui endeuillent les pays sahéliens.
Il y a quelques jours, les Nations unies démontaient le cliché qui consiste à penser que le radicalisme religieux est le ressort principal des actes dits « terroristes » dans les pays du Sahel, attentats ayant coûté la vie à pas moins de 9 300 personnes en 2022. L’ONU démontrait la variété des violences –banditisme ou tensions intercommunautaires diverses autant que rébellions ou jihad– et la multiplicité de motivations personnelles d’enrôlement, allant du suivisme familial à la quête d’emplois.... suite de l'article sur Jeune Afrique