Après le coup d'État du Conseil national pour la sauvegarde de la patrie (CNSP) contre le président nigérien Mohamed Bazoum, la Cédéao, réunie en sommet extraordinaire à Abuja, a annoncé un train de sanctions d'une sévérité jamais égalée, et a menacé d'une intervention militaire si le pouvoir n'est pas remis aux institutions élues. Entretien avec Abdoulaye Barry, doctorant à l'Université pour la paix (Upeace), une institution académique de l'ONU.... suite de l'article sur RFI