L’ancien ministre de l’Intérieur, aujourd’hui au Commerce, ne baisse pas les bras. Réfugié en lieu sûr pour éviter une arrestation, il continue de croire en un rétablissement au pouvoir du président Mohamed Bazoum et soutient les actions de la Cedeao, y compris si celles-ci devaient être militaires. Interview.
Proche de Mohamed Bazoum, Alkache Alhada a été, comme beaucoup, très surpris lorsque, le 26 juillet dernier, le général Abdourahamane Tiani a décidé de mettre brutalement fin au mandat du président de la République. « Abasourdi », « stupéfait », il a alors préféré rentré dans la clandestinité, afin d’éviter de partager le sort de certains de ses collègues du gouvernement, dont son successeur au ministère de l’Intérieur, Adamou Souley, aujourd’hui en détention.... suite de l'article sur Jeune Afrique