Interpellée par des individus en civil le 30 septembre, l'administratrice du Magazine d'information sur le développement économique et social (Mides), Samira Sabou est désormais “en liberté provisoire”, d’après une annonce de Reporters Sans Frontières sur X (ex-Twitter).
Inculpée notamment pour "diffusion de données de nature à troubler l'ordre public", la journaliste a été entendue par un juge d’instruction qui a décidé de la libérer provisoirement. Néanmoins, l’enquête se poursuit, comme l’a dit son avocat, Me Ould Salem Saïd.
Reporters Sans Frontières a vivement appelé les autorités nigériennes à abandonner les charges pesant contre la journaliste.