Alors qu’un tiers des militaires français ont déjà quitté le pays, comme exigé par les putschistes, les armées américaines, allemandes, italiennes et belges ont maintenu une présence sur place, notamment au nom de la surveillance antiterroriste ou de la lutte antimigratoire.
Deux convois terrestres partis de Niamey, deux bases avancées au nord-ouest du pays rétrocédées aux forces nigériennes, des rotations aériennes pour convoyer fret et personnel vers N’Djamena (Tchad) et Paris… En trois semaines, environ un tiers des 1 450 militaires français présents au Niger ont plié bagage. Alors que les uns partent, d’autres restent. Des forces américaines, allemandes, italiennes et belges stationnent toujours sur le territoire nigérien. Un héritage des partenariats militaires scellés sous la présidence de Mahamadou Issoufou (2011-2021), qui n’a pas complètement été remis en cause par les autorités au pouvoir depuis le coup d’Etat du 26 juillet.... suite de l'article sur Autre presse