Il tient. Mohamed Bazoum résiste, alors qu’un simple trait de crayon pourrait mettre fin à sa captivité. Depuis le coup d’Etat du 26 juillet, qui l’a renversé, ses tombeurs attendent qu’il appose sa signature au bas d’une lettre de démission. Mais celui qui a été élu un dimanche de février 2021 s’y refuse, quitte à rester prisonnier avec son épouse, Khadija Mabrouk, et leur fils, Salem, 22 ans.... suite de l'article sur LeMonde.fr