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Afrique : La Banque mondiale s’attend à un rebond de la croissance à 3,4% en 2024

Publié le mardi 9 avril 2024  |  Sikafinance
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© Abidjan.net par Atapointe
La Banque Mondiale et des chefs d’Etat rendent hommage à Donald Kaberuka, le president de la Banque Africaine de Développement (BAD)
Vendredi 17 avril 2015. Washington. En marge des assemblées du primtemps de la Banque Mondiale et du Fonds Monétaire International (FMI) , une cérémonie d’hommage à Donald Kaberuka, le président de la Banque Africaine de Developpement (BAD) en fin de mandat a été organisée. Plusieurs chefs d’Etat et de gouvernement y ont pris part.
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Les perspectives de croissance devraient s’améliorer cette année en Afrique subsaharienne au regard des prévisions que vient de dévoiler la Banque mondiale. En effet, dans l’édition d’avril 2024 de son rapport Africa’s Pulse publié ce 8 avril, l’institution de Bretton Woods table sur un taux de croissance du PIB de 3,4% de la région en 2024, contre 2,6% en 2023. Cette dynamique devrait être conservée en 2025 où la croissance économique est attendue à 3,8%.

"La reprise est principalement due à une plus forte croissance de la consommation privée, la baisse de l’inflation augmentant le pouvoir d’achat des revenus des ménages", précise ce rapport intitulé "S’attaquer aux inégalités pour relancer la croissance et réduire la pauvreté en Afrique".

Cette embellie économique s’accompagne également de mesures d’assainissement budgétaires adoptées par plusieurs africains dont le Ghana, le Kenya et le Nigéria. Conséquence, le déficit budgétaire médian de la région devrait diminuer légèrement, passant de 3,8% du PIB en 2023 à 3,5% du PIB en 2024.

Cette amélioration des soldes budgétaires devrait se matérialiser par une réduction du taux d’endettement qui devrait de 61% du PIB en 2023 à 57% du PIB en 2024. Toutefois, le rapport précise que plus de la moitié des pays africains sont confrontés à un fardeau de la dette insoutenable ou cherchent activement à restructurer ou à reprofiler leurs dettes. Cette situation les expose à des coûts d’emprunts extérieurs plus élevés face à l’insuffisance de l’épargne locale.
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