La levée des sanctions par la Communauté Economique des Etats de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO) à la suite du coup d’Etat, contre le Niger en février dernier, n’a pas refroidi la tension entre ce pays et son voisin immédiat qu’est le Bénin. Le refus du Niger d’ouvrir sa frontière avec son voisin envenime la situation.
Dans ce bras de fer, ce sont les populations des deux pays qui sont victimes des dégâts collatéraux, puisqu’ayant des difficultés à écouler les marchandises de part et d’autre, avec en toile de fond l’inflation au Niger.
Le bord du fleuve au niveau des frontières, à Malanville, est devenu un lieu où se font les échanges, étant donné que ces populations utilisent le fleuve pour acheminer ces marchandises dans de grosses barques, avec de gros risques qu’elles courent.... suite de l'article sur Autre presse