Situation paradoxale pour l’équipe de France. Assurée d’être qualifiée pour les huitièmes de finale avant même d’affronter la Pologne, la formation tricolore devait quand même gérer un match à forte pression. La raison était simple. Deuxièmes du groupe D au coup d’envoi derrière les Payas-Bas (à la différence de buts générale), les Bleus étaient obligés de s’imposer largement face à la bande de Robert Lewandowski et d’espérer un couac des Bataves contre l’Autriche pour terminer premiers. Un enjeu de taille puisque cela permettait d’éviter la partie de tableau avec l’Allemagne, l’Espagne et le Portugal.... suite de l'article sur Autre presse