Lauréat du Prix Mo Ibrahim 2020 de la gouvernance, Mahamadou Issoufou avait condamné le putsch du 26 juillet 2023 ayant renversé son successeur Mohamed Bazoum mais seulement du bout des lèvres, regrette-t-on. Une ambiguïté qui aura alimenté toutes sortes de théories sur l’implication directe ou non de l’ancien président dans le renversement du dauphin... suite de l'article sur Autre presse