L'ancien président nigérien, Mamadou Tandja, renversé en 2010 a réclamé le 6 février un audit sur la gestion du pays par la junte militaire qui avait géré les affaires après sa destitution. En septembre dernier, lors d'une rencontre avec des militants, il avait laissé entendre que 400 milliards de FCFA qu'il avait laissés dans les caisses de l'Etat auraient pu avoir disparu. Le président Tanja est prêt à répondre devant les enquêteurs affirme son avocat, mais à certaines conditions.... suite de l'article sur RFI