El hadj Souleymana 48 ans, a laissé sa vie, comme 53 autres personnes, lorsqu’une rivière en crue a emporté la voiture de transport en commun à bord de laquelle il se trouvait. Il laisse une famille totalement éplorée et sans moyens de survie.
Il a fallu des jours de négociation pour convaincre Elhadji Ibrahima Ousseini de nous parler. Secoué par le deuil, le quinquagénaire est hésitant, face à la douleur, lui qui a perdu son frère cadet, "un pilier de la famille".
C’est la voix tremblotante qu’il nous livre son témoignage, quelques jours après les obsèques de son frère cadet, un commerçant qui fait la ligne entre sa ville de résidence Tahoua, et les marchés environnants.... suite de l'article sur Autre presse