Farai, un étudiant zimbabwéen de 27 ans, avait l'habitude de garder ses livres d'université sur son bureau à Beyrouth.
Cette semaine, ils ont été remplacés par son passeport, ses documents de voyage et de l'argent liquide.
« J'ai un plan pour moi au cas où je devrais partir d'urgence », explique-t-il.
Farai, dont nous avons modifié le nom pour protéger son identité, est rentré au Liban en septembre pour terminer la dernière année de son master en ingénierie mécanique.... suite de l'article sur Autre presse