La situation de l’ancien président nigérien, Mohamed Bazoum ainsi que celle de ses proches et anciens collaborateurs également détenus, suscite l’inquiétude de l’Organisation internationale de la Francophonie (OIF), qui réclame leur libération.
Depuis la prise de pouvoir par la junte militaire, plusieurs voix et organisations internationales, notamment les Prix Nobel Wole Soyinka et Denis Mukwege, ont exigé la libération de Mohamed Bazoum, mais sans succès.
Lors de son sommet des 4 et 5 octobre 2024, l’OIF s’est jointe à ces appels, exprimant sa préoccupation face à la situation à travers une déclaration ferme.... suite de l'article sur Autre presse