Lorsqu'il a été renversé, les caisses de l'État étaient pleines, affirme l'ancien président. Quatre cents milliards de F CFA se seraient volatilisés. Mais quand ? Et comment ?
Mamadou Tandja se tait aujourd'hui. L'ancien président a beau se cacher, il est au coeur de toutes les discussions au Niger. En brousse, là où souffle un vent de nostalgie de son règne et où l'on a vite oublié sa volonté anticonstitutionnelle de le prolonger (le fameux tazartché, "continuité" en haoussa), "on le regrette", assurent son entourage et plusieurs observateurs indépendants. Et à Niamey, on le guette...... suite de l'article sur Jeune Afrique