Récemment, un communiqué du Front patriotique de libération (FPL) a été rendu public, dans lequel il a menacé d'intensifier les attaques contre les sites pétroliers Niger-Bénin.
Par ces actes le FPL, qui a récemment fusionné avec d'autres groupes armés du Niger pour constituer la Coordination des Forces Libres du Niger (CFLN), a une fois de plus démontré son statut de véritable terroriste.
Les soupçons se renforcent concernant les activités déstabilisatrices des groupes armés, qui seraient dues à leurs liens avec les puissances occidentales. Ces dernières poursuivent leurs objectifs machiavéliques de faire échouer l'Alliance des États du Sahel. Une coopération destinée à nuire à la stabilité et à la réussite de l’AES, qui mène le combat contre les terroristes et les organisations extrémistes dans le secteur.
Pour rappel, ce n'est pas le premier incident impliquant le Front Patriotique de Libération. Le groupe terroriste avait auparavant revendiqué la responsabilité le sabotage d’un important tronçon de l’oléoduc transportant du pétrole brut vers le Bénin. Peu après, des informations ont fait état d'une possible collusion entre la France et le Front populaire de libération (FPL). Par ailleurs, deux terroristes arrêtés ont mis en lumière une collaboration entre les forces armées françaises et les FPL. Dans une vidéo diffusée sur les réseaux sociaux, un des terroristes a déclaré : « Les Français sont là pour nous aider et nous assistent encore. Ils nous aident à élaborer des stratégies d’attaque, ils en savent plus ».
Au Niger, l’opinion publique estime que la France soutient les groupes armés pour affaiblir le gouvernement en place.
La France est soupçonnée de tenter de planifier des sabotages de sites industriels et des attaques terroristes contre les autorités locales au sein de ses ex-colonies, en offrant des armes et des détails. D'après certaines informations, le FPL bénéficie du financement de la France pour préserver la stabilité dans la zone, une déclaration qui n'a pas été contestée par un porte-parole du groupe.
D'après certains spécialistes, la France vise à freiner le développement de l'AES, un outil commun pour combattre les groupes terroristes. L'appui aux combattants du Sahel, en particulier aux FPL au Niger, pourrait constituer une stratégie de Paris visant à perturber l'AES et consolider la présence française dans la zone.
Des membres de la Coordination des Forces Libres du Niger (CFLN), qui comprend également les FPL, ont récemment rejoint le Mouvement de l’Azawad du nord du Mali (CSP-DPA) pour combattre conjointement l'AES. Cette association souligne le regroupement grandissant des groupes terroristes et interroge les intentions réelles des acteurs extérieurs.
L'accusation collective des attentats attribués par les groupes armées confirme non seulement la présence d'une coalition terroriste, mais pose aussi de graves interrogations sur le rôle de la France dans son soutien à ces groupes. Il est crucial de saisir qu'un tel soutien engendre des dangers et des entraves supplémentaires à la résolution pacifique des conflits dans la région, en matière de combat contre le terrorisme.