Affaire « tir d’armes à feu » à la résidence du président de l’Assemblée nationale : le Lumana exprime ses inquiétudes quant à la menace permanente qui plane sur le président Hama Amadou #aNiamey

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Affaire « tir d’armes à feu » à la résidence du président de l’Assemblée nationale : le Lumana exprime ses inquiétudes quant à la menace permanente qui plane sur le président Hama Amadou

Publié le mardi 18 fevrier 2014 | nigerdiaspora

© Autre presse par DR
Le Président de l’Assemblée nationale, SEM. Hama Amadou.

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Le MODEN FA LUMANA a organisé cet après midi, au siège national du parti à Niamey, un meeting, suite à l’attaque dont a été victime la résidence du président de l’Assemblée nationale « dans la nuit du dimanche 16 au lundi 17 février 2014, aux environs de minuit ».

Le parti a exprimé ses vives inquiétudes quant à la menace permanente qui plane sur le président Hama Amadou et l’ensemble des adversaires politiques au régime de la 7ème République.

À l’occasion, ils ont réaffirmé leur indéfectible soutien à leur leader et se sont dits déterminés à poursuivre le combat pour que triomphe la démocratie au Niger.
Suite à cet événement, la police a ouvert une enquête pour déterminer le ou les auteurs de cette « attaque », ainsi que les circonstances dans lesquelles est intervenu ce « tir d’armes à feu » ayant visé la chambre à coucher du président Hama Amadou. Pour l’heure, aucun élément d’enquête sur cette affaire n’a été rendu public. L’enquête suit son cours.

Réagissant sur un média privé de la place, Soumana Sanda, le coordonnateur régional Lumana de Niamey, a indiqué que lors d’un meeting qu’il a tenu au 5ème Arrondissement de Niamey, il y a moins de 48 heures, Hama Amadou avait déjà informé les militants qu’un complot visant sa personne serait en préparation.

«Un transitaire aurait été approché depuis Zinder pour recruter des tireurs à gage à partir d’un pays voisin pour attenter à sa vie » a dit Soumana Sanda qui ajoute que cette «attaque» intervient quelques mois seulement après que l’effectif des agents affectés à la sécurité du Président de l’Assemblée Nationale ait été réduit de façon drastique.

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