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Devoir de vérité : a-t-on trahi les espoirs du 26 juillet 2023 ?

Publié le lundi 17 mars 2025  |  Nigerdiaspora
J.O
© aNiamey.com par dr
J.O Paris 2024 : le Général Abdourahamane Tiani remet le drapeau aux athlètes nigériens
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Dans le pays, depuis la remise officielle du rapport des Assises Nationales et le discours du Président Tiani consécutif à l'événement, ça bavarde beaucoup. Tous les espaces, virtuels et physiques, sont inondés de paroles, de colères et d'incompréhensions. Comme déroutés, les Nigériens, sortant de près de deux années de soutien infaillible, depuis cet autre jour, se froissent les yeux, regardent et ne comprennent rien. C'est à croire qu'ils sortent d'un cauchemar. Leurs combats et leurs espoirs, sont-ils en passe d'être trahis ? Ah, pauvre Niger et quand on peut penser qu'un certain Macron rit sous cape ! L'occasion rêvée, lui vient-elle ? Et le peuple oublié dans tout cas ? La question est grave. Et ce n'est que normal de s'inquiéter. On sait ce que ce peuple qui a tant souffert et qui a tant espéré avec son armée qui vient le sauver redoute : il craint un retour à la case départ, à une remise du pays dans les mains des mêmes potentats, de ceux qui, prenant sur eux la redoutable responsabilité des graves problèmes du pays. Il ne faut pas donner raison à ceux qui avaient dit, avant l'heure, alors que tout le monde se refusaient à croire à cette version des faits, qu'un clan en battait un autre pour le sien et que les événements du 26 juillet 2023 n'auraient rien à voir avec les problèmes réels du pays. Chiche. " Oublier ", ce terrible mot, au coeur des malaises nigériens, avait torturé les Nigériens qui, ce soir, harcelés par mille et une questions, se demandaient, où on va, où va ce pays, quelles surprises désagréables pourraient leur réserver les militaires au pouvoir. Faut-il craindre d'autres séparations douloureuses, les mêmes pour lesquelles la France observe à distance, manipule ses pions, dont le principal, faut-il avoir le courage de le reconnaitre, est cet homme qui divise tant et qui, fautil s'en plaindre, marche encore dans les platebandes du pouvoir tianien. Sa présence même n'avaitelle pas choqué une opinion et au-delà du pays ? Souvent, hélas, l'histoire s'écrit avec de petits mots, terribles. ... suite de l'article sur Autre presse

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