Une grave pénurie d'essence sévit au Niger ces derniers temps. Impactant toutes les activités humaines, dans tous les secteurs de la vie socioéconomique du pays, le précieux liquide étant incontournable pour faire tourner les machines de façon générale et rendre possibles les déplacements et le travail dans l'administration. Dans la capitale, ce problème se sent beaucoup plus que partout ailleurs. Les usagers courent de station d'essence à station d'essence dans l'espoir de pouvoir s'approvisionner et s'adonner à ses activités journalières, le plus souvent après une longue queue, des disputes inutiles et même des insultes au niveau des quelques rares stations qui disposent encore d'essence. Cette pénurie a atteint ces trois derniers jours, un pic jamais atteint. Du jamais vu, disent d'aucuns. Un autre paradoxe nigérien, diront d'autres. Car, le Niger est un pays producteur de pétrole depuis 2011. Qui plus est, la production est passée de 20 mille barils jours au quadruple.... suite de l'article sur Autre presse