550 milliards de FCFA pour 12 projets de gestion durable des terres et de l’eau du CILSS #aNiamey

Économie

550 milliards de FCFA pour 12 projets de gestion durable des terres et de l’eau du CILSS

Publié le jeudi 20 mars 2014 | Agence de Presse Africaine

© Autre presse par DR
Braoussala Blamsia, secrétaire exécutif du Comité permanent inter-Etats pour la lutte contre la sécheresse dans le Sahel (CILSS)

Vos outils

REAGISSEZ

Vidéos

Dans le dossier

Activités Economiques

Ouagadougou (Burkina Faso) - Le Comité permanent inter-Etats de lutte contre la sécheresse dans le Sahel (Cilss), va bénéficier d’un appui d’environ 550 milliards de francs CFA dans le cadre du Programme Sahel et Afrique de l’Ouest en appui à l’initiative de la Grande muraille verte (Sawap en anglais), pour développer la gestion durable des terres et de l’eau, dans 12 pays africains, a appris APA jeudi auprès des responsables de l’institution.

Les 12 pays sont le Bénin, le Burkina Faso, l’Ethiopie, le Ghana, le Mali, la Mauritanie, le Niger, le Nigeria, le Sénégal, le Soudan, le Tchad et le Togo. Il vise à accroître l’investissement de technologies en matière de gestion durable des terres et de l’eau et améliorer l’aménagement du terroir et les systèmes d’information.

Quant au Projet de renforcement de la résilience par le biais de services liés à l’innovation, à la communication et aux connaissances (Bricks), il accompagnera les 12 projets du Sawap dans la réalisation de leurs objectifs.

D’un montant de 2,3 milliards de francs CFA, il facilitera l’identification des innovations, au niveau régional et global et leur promotion à travers une communication, une gestion de connaissances et un suivi-évaluation efficaces.

Le projet Bricks porté par la Banque mondiale est mis en œuvre par des centres d’excellence régionaux agréés chargés d’activités distinctes.

Il s’agit du Cilss chargé de la gestion et de la diffusion des connaissances, de l’Observatoire du Sahara et du Sahel (OSS) chargé des applications géo-spatiales et du suivi-évaluation du portefeuille de projets, et de l’Union internationale pour la conservation de la nature (UICN) qui est le chef de file dans les domaines de la biodiversité, des stratégies de mise en réseau et de communication.

TT/of/APA

Commentaires