Présidence de l’Assemblée nationale du Niger : Hama Amadou résiste #aNiamey

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Présidence de l’Assemblée nationale du Niger : Hama Amadou résiste

Publié le vendredi 4 avril 2014 | nigerdiaspora.info

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Assemblée nationale de cote d’ivoire : séance solennelle d`ouverture de la 1ère session ordinaire 2013
Mercredi 24 avril 2013. Abidjan. Plateau, palais de l`assemblée nationale. Le président de l’assemblée nationale de CI, Guillaume Soro a présidé la première session ordinaire de l’année 2013 Photo(Hama Amadou, Le président de l’assemblée nigerienne)

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Activités de l`Assemblée nationale 2014

L’information avait fait le tour du monde depuis que le Moden Lumana a quitté la mouvance présidentielle que Hama Amadou sera débarqué de son poste du président de l’Assemblée nationale. Le dépôt de cette motion de défiance avait été annoncé pour le mois de mars dernier.

Pour ce faire, la majorité au pouvoir déclarait avoir dans son escarcelle le 2/3 de députés, soit 76 députés sur les 113, le nombre requis pour éjecter Hama de la présidence de l’Assemblée nationale. Mais pendant que les commentaires de toute sorte se dressaient autour de cette éjection de Hama Amadou de son perchoir, au niveau de la majorité au pouvoir, c’est le silence de mort.

Les tenants du pouvoir semblent éviter le sujet et tentent de faire comprendre à leurs partisans que le sujet n’est plus à l’ordre du jour, en tout cas, pas au cours de la présente session de l’Assemblée nationale.

Mais selon nos informations, le camp présidentiel hésite à engager l’action. Le nombre de 76 députés annoncé n’est pas totalement acquis, car des lourds soupçons pèsent sur certains députés qui n’aspirent pas confiance malgré le fait qu’ils ont affiché leur allégeance au régime Issoufou.
D’où cette hésitation qui gagne de plus en plus la majorité au pouvoir, pendant que l’opposant Hama Amadou, lui, affiche une certaine sérénité dans la conduite des travaux à l’hémicycle.

Pour l’heure, l’impression qui se dégage sur cette question est que Hama Amadou aurait peut être réussi à ramener dans son camp, certains députés qui étaient au départ de l’entreprise, favorables à voter son éjection de la présidence de l’Assemblée nationale.

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