Une quarantaine d’opposants, proches du président du Parlement Hama Amadou, ont été arrêtés cette semaine parce qu’ils préparaient "une campagne de terreur" dans le but de réaliser "un putsch militaire", a affirmé le ministre de l’Intérieur nigérien à l’AFP.
"Cela fait des mois qu’ils appelaient à la violence. Notre action s’inscrit contre des gens dont l’objectif est de mettre fin aux institutions démocratiques", a justifié Hassoumi Massaoudou, ajoutant que certains des interpellés avaient été pris "la main dans le sac", des cocktails Molotov en leur possession.