Les militants libérés font partie du Modem Lumana, le parti de Hama Amadou, le président de l’Assemblée nationale. Parmi eux se trouve le propre fils de Hama Amadou, Ismael. 34 restent encore sous mandat de dépôt, soupçonnés de vouloir déstabiliser le pouvoir en place.
Parmi les huit militants relâchés samedi, trois ont passé leur détention dans les locaux de la police judiciaire. Selon l’un d’entre eux, les autorités nigériennes les soupçonnent d’être impliqués dans l’attentat contre la maison du député de la majorité Mohamed Ben Omar.... suite de l'article sur RFI