Plusieurs opposants, arrêtés la semaine dernière, ont été libérés ce week-end à Niamey. Dans le même temps, la « marche pacifique » que l’opposition avait prévue hier dimanche contre le président Mahamadou Issoufou, a été interdite par les autorités. Le pouvoir nigérien souffle donc le chaud et le froid. Et à deux ans maintenant de l’élection présidentielle, le climat politique n’est pas apaisé, loin de là. C’est ce que relève l’hebdomadaire nigérien Le Monde d’Aujourd’hui dans sa dernière livraison. « Mon pays va mal » s’exclame-t-il.... suite de l'article sur RFI