« L'intêret de ce partenariat c'est qu'il permet à Areva d'assurer un approvisionnement constant en ressources naturelles, tout comme il permet à notre industrie de se maintenir à un certain niveau. »
Officiellement, Niamey et le groupe nucléaire français Areva ont conclu un accord de gentlemen, le 26 mai dernier, sur l'exploitation de l'uranium dans le Nord du Niger. Mais en réalité, tous les coups étaient permis. Alors, qui a gagné, qui a perdu ?... suite de l'article sur RFI