L’affaire des bébés achetés au Nigeria et vendus au Niger continue à faire la Une à Niamey. Samedi 9 août, au matin, une partie des organisations de la société civile a annoncé son soutien aux magistrats du pays, et par la même occasion, elles ont appelé le pouvoir à créer les conditions pour que soient entendues plusieurs personnalités soupçonnées et théoriquement protégées par une immunité.
Les noms cités dans cette déclaration sont ceux du président de l’Assemblée nationale du Niger Hama Amadou et du ministre d’Etat de l’Agriculture Abdou Labo, dont les épouses croupissent en prison.... suite de l'article sur RFI