Mille jours après leur enlèvement, les proches de quatre otages français détenus par al-Qaida, rassemblés dans plusieurs villes de France samedi, ont déploré l'inaction de l'État.
Face aux critiques des familles des otages français du Niger, qui ont dénoncé samedi l'inaction de l'Etat, François Hollande n' a pas mis longtemps à réagir. Le président français a affirmé dimanche qu'il avait «toute raison de penser» que les otages détenus par al-Qaida étaient «vivants», en ajoutant que Paris était «toujours à la recherche de contacts» pour les faire libérer.
«Je sais que c'est insupportable pour les familles, 1.000 jours 1.000 nuits, mais en même temps qu'il y a cette angoisse, il y a cette volonté de les libérer mais de le faire avec des contacts qui peuvent être sûrs. Pas avec des intermédiaires qui se proposent et dont on sait qu'ils ne viennent chercher que des avantages pour eux-mêmes», a-t-il ajouté.... suite de l'article sur Autre presse