A l'instar des autres régions du pays, le concours d'entrée dans les centres de formation professionnelle et technique s'est déroulé, samedi dernier au centre de formation professionnelle et technique de Dosso. C'est le Secrétaire général de la région de Dosso, M. Yahaya Tankari, qui a procédé à l'ouverture de la première enveloppe en présence du Secrétaire général de la préfecture de Dosso, du directeur régional des enseignements professionnels et techniques et du président du jury.
Ils sont cette année 130 candidats à se présenter à ces examens qui ont débuté dans de bonnes conditions. Après avoir ouvert la première enveloppe, le secrétaire général de la région de Dosso, M. Yahaya Tankari, a prodigué de sages conseils aux candidats. Le Président de la République et Le gouvernement de la 7ème République a-t-il indiqué accordent une place de choix à la formation professionnelle. Le Secrétaire général de la région a ensuite souhaité bonne chance aux candidats.
Parlant des critères de choix des candidats, le président du jury M. Parou Yamindiéba a indiqué que c'est suite à l'arrêté du ministère de la formation professionnel annonçant la tenue du concours que les jeunes se sont inscrits au niveau de la direction régionale des enseignements professionnels et techniques. Les candidats a-t-il précisé sont de deux niveaux : ceux qui rentrent dans les différents centres avec le niveau BEPC donc le niveau moyen et ceux qui rentrent avec le certificat et qui après trois ans sortent avec le certificat d'aptitude professionnel.
Ceux qui rentrent dans les centres avec le brevet sont de deux catégories. Ainsi, les inscrits au CPK font trois ans pour sortir avec le BEP (brevet d'étude professionnelle). Au niveau du CFPT de Dosso, les élèves font deux ans pour sortir avec le BEP. La particularité en général dans la formation professionnelle a souligné le président du jury de Dosso est que les centres se préparent pour accueillir cette année les jeunes du niveau primaire ce qui est une première pour les centres.
M. Parou Yamindiéba estime que c'est un signe très fort de l'intérêt de la formation professionnelle au niveau national et même au niveau régional et cela traduit concrètement dans les faits cette volonté politique du Chef de l'Etat.
