Certaines femmes d’aujourd’hui, jeunes ou moins jeunes, mariées ou libres, pour arrondir leurs fins de mois ou se faire épouser vaille que vaille par l’élu de leur cœur, ont choisi de faire recours aux forces occultes.
De fait, elles s’adressent aux marabouts ou aux zimas. Elles amènent comme on dit le nom de leur bien aimé (amant), ainsi que certains articles nécessaires au rite, à cet intermédiaire, ce calé du culte. Celui-ci, qui n’a guère de scrupule, fixe alors ses conditions, matériellement parlant, avant de se lancer dans le bain. Et le tour est joué… Que la femme ait gain de cause ou non, le deal est fait. Plus question de revenir là-dessus: on laisse le temps au temps, on laisse le temps faire les choses…
Les hommes sur lesquels les femmes de cet acabit portent leur dévolu, sont généralement des hommes d’affaires (c’est-à-dire des gens riches) ou même des gens bien positionnés administrativement. Le but de ces enquiquineuses, c’est de se faire épouser par ces derniers, quand bien même ceux-ci sont déjà mariés et elles pas, ou de leur piquer le maximum de sous et de biens (voiture ou moto, voyage princier dans un pays de la sous-région ou en occident, achat d’une maison, etc.).
Et beaucoup de nos chauds lapins se laissent tenter par le jeu, se laissent tomber dans le piège. Quitte à ce que des scandales conjugaux éclatent par la suite : quand ça s’apprendra… Ainsi va la vie de nos jours.