L’exécutif nigérien n’est pas resté bien longtemps insensible aux accusations portées dans "Jeune Afrique" à son encontre par le Président (en fuite) de l’Assemblée nationale, Hama Amadou, dans l’affaire de trafic de bébés.
À la suite de la publication dans Jeune Afrique de l’interview de Hama Amadou, - opposant nigérien impliqué dans l’affaire de trafic de bébés - le gouvernement s’est fendu, le 10 septembre, d’un communiqué dans lequel il dément les accusations d’instrumentalisation de la justice à des fins politiques.... suite de l'article sur Jeune Afrique