Depuis le document de reconnaissance du congrès de septembre dernier légitimant le nouveau bureau du parti CDS RAHAMA, l’ex-président de cette formation politique a préféré gardé le silence sur toute la ligne. Est-ce une stratégie politique ou bien est-il en train de manipuler en douce ?
Ou bien encore, Nafarko 1er a peur de subir le courroux de la justice de la Renaissance ?
Il y a quelques temps de cela, Mahamane Ousmane était pris à partie dans les colonnes d’un confrère de la place relativement à un prêt contracté auprès de la République de Formose par l’Etat du Niger sous la 3ème République. Au-delà du premier démocratiquement élu du Niger, c’est l’ARDR dans son ensemble qui semble être tombée en catalepsie.
Revenons au cas de Mahamane Ousmane. Est-il, comme cela se susurre, sur une autre alternative politique, celle de créer son propre parti vu sa situation inconfortable du moment ?
Face à ce mutisme prolongé de l’ex- président du parti CDS et de l’alliance dans laquelle il se trouve, l’opposition politique donne l’impression d’avoir tout lâché en ce qui concerne le combat politique pour la conquête et l’exercice du pouvoir en 2016 prochaines échéances électorales.