Des accrochages entre les deux corps ont fait plusieurs blessés et d’une dizaine d’arrestation parmi les éléments de la police municipale qui observe une grève de 72 H.
Cette altercation est survenue après que le maire centrale de la ville ait fait appel aux éléments de la police nationale pour assurer la relève.
Les altercations, la chasse poursuite et es tirs de gaz lacrymogènes ont duré deux heures de temps entre les deux corps aux alentours et dans l’enceinte de l’hôtel de Niamey.
C’est en effet là-bas que les agents de la police municipale ont débuté leur mouvement avec le blocage les activités de la Mairie , ce qui a poussé le Maire à faire appel à la police nationale pour assurer la révèle ce qui n’a pas été du gout des grévistes.
La tension est montée d’un cran, bilan des échauffourées ; une dizaine de blessés au sein des deux corps et plusieurs arrestations dans les rangs de la police municipale dont le secrétaire de leur syndicat.
Celle-ci réclame l’amélioration de leur condition de travail, la révision de leur grille salariale, la dotation en armes de ses éléments en poste dans des lieux stratégiques.
Le calme après l’intervention de la gendarmerie.
De l’avis de nombreux observateurs, la police municipale et la police nationale sont deux coqs d’une basse cour ; la cohabitation sur le terrain est souvent marquée par des invectives voir des provocations entre les deux corps.