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Le chef de la CEDEAO déclare qu’Ebola reste la première des priorités
Publié le vendredi 28 novembre 2014   |  Xinhua


Kadré
© Autre presse par DR
Kadré Désiré Ouédraogo, le Président de la Commission de la CEDEAO.


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La Communauté économique des Etats de l'Afrique de l'Ouest (CEDEAO) déploie une stratégie axée sur la prévention, l'endiguement et l'éradication pour répondre à l'épidémie d'Ebola dans la région, a déclaré mercredi le président de commission de la CEDEAO, Kadré Désiré Ouédraogo.
Ces trois axes stratégiques ont été définis pour répondre aux divers aspects de l'épidémie, qui a déjà tué 5 444 personnes dans trois Etats membres, a indiqué le président à l'occasion du démarrage d'un atelier de formation de cinq jours auquel participent 150 agents de santé volontaires.

M. Ouédraogo a appelé les personnels de santé à se considérer comme des soldats dans la lutte régionale contre la maladie.

Ces personnels, qui viennent du Bénin, de Côte d'Ivoire, du Ghana, du Mali, du Nigeria et du Sénégal, suivent une formation préalablement à leur déploiement en Guinée, au Liberia et en Sierra Leone. Cette aide viendra appuyer les efforts nationaux, régionaux et internationaux déployés pour lutter contre l'épidémie dans ces trois pays.

Le président a assuré que la commission de la CEDEAO prendrait toutes les mesures appropriées pour se conformer aux directives des chefs d'Etat et de gouvernement de la région, qui se sont montrés résolus dans leur engagement à éradiquer l'épidémie.

"La réunion d'aujourd'hui à l'occasion du lancement de la formation d'agents de santé régionaux qui seront déployés pour lutter contre la maladie à virus Ebola dans les trois pays les plus touchés, la Guinée, le Liberia et la Sierra Leone, est la démonstration que nous nous engageons à répondre collectivement à ce défi régional", a déclaré le président de la commission.

La maladie à virus Ebola ne connaît pas de frontières : après le premier cas signalé en Guinée, la maladie s'est rapidement propagée aux pays voisins, et des pays en dehors du continent, tels que les Etats-Unis, l'Espagne et la Norvège, ont également enregistré des victimes, ce qui montre clairement que la lutte doit être mondiale.

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