La polémique autour de l'expulsion de 3 000 migrants nigériens d'Algérie se poursuit. Mercredi, le Premier ministre du Niger avait annoncé au Parlement « une décision motivée, selon lui, par l'Algérie ». Le ministre algérien de l'Intérieur avait pourtant assuré que ce rapatriement se faisait en coopération avec le Niger. Ce vendredi, le gouvernement nigérien a fait une mise au point. Les propos du Premier ministre, selon son porte-parole Marou Amadou, ont été « mal interprétés ».... suite de l'article sur RFI