Selon l'ordonnance de renvoi devant le tribunal correctionnel de Niamey que J.A. a consultée, Hama Amadou, son épouse et trente coinculpés devront passer en jugement dans une vaste affaire de trafic de bébés. Alizéta Ouédraogo, l'ancienne "belle-mère nationale" du Burkina Faso, est quant à elle pour l'instant simplement citée.
Hama Amadou, l'ancien président de l'Assemblée, et son épouse crient au complot mais ils n'échapperont pas à un procès, pas plus que d'autres personnalités nigériennes accusées de trafic de bébés. L'instruction est close. Selon l'ordonnance de renvoi devant le tribunal correctionnel dont J.A. a obtenu copie, seuls deux des trente-deux coïnculpés bénéficient d'un non-lieu. Les autres devraient être jugés au début de l'an prochain...... suite de l'article sur Jeune Afrique