Le procès des "bébés volés" s'ouvre aujourd'hui à Niamey. Parmi les accusés, Hama Amadou, l'ex-président de l'Assemblée nationale aujourd'hui réfugié en France, qui prétend qu'on veut lui nuire pour d'autres raisons. Le chef de l'État, lui, estime que l'affaire n'a rien de politique.... suite de l'article sur Jeune Afrique