Le groupe nucléaire français Areva voudrait-il punir l’Etat nigérien pour avoir fait fuiter des informations sur une aide budgétaire accordée en 2011 par Areva au Niger ?
Une générosité qui a été considérée comme une tentative de corruption par la Cour d’Appel de Paris ?
La question mérite d’être posée au regard de la décision que vient de prendre le groupe nucléaire en licenciant la majorité de ses employés du site nigérien d'Imouraren.
Pourquoi un plan social qui était en discussion depuis plusieurs mois avec les syndicats vient brusquement d’être mis en œuvre ?... suite de l'article sur Autre presse