Areva, le groupe français du nucléaire, a annoncé fin décembre 2014 le report de l'ouverture de la mine à ciel ouvert d'Imouraren. La semaine dernière, Areva a annoncé des pertes record de 5 milliards d'euros. Le cours de l'uranium a été divisé par deux en trois ans et le groupe estime qu'il n'est pas rentable de lancer une nouvelle mine dans ces conditions. Résultat, sur les 220 salariés d'Imouraren, seuls 40 conservent leur poste. Les sous-traitants réduisent aussi leurs effectifs de 1 100 personnes à 280. Mais les syndicats contestent ce plan social.... suite de l'article sur RFI