Depuis janvier dernier, depuis les attentats d’In Amenas en Algérie, la frontière entre l’Algérie et le Niger est restée fermée au poste d’Assamaka. Cette situation met au chômage beaucoup de jeunes Nigériens qui importent des véhicules de seconde main venant d’Europe pour les vendre dans les villes nigériennes d’Arlit et d’Agadez.
Abdullah Ibrahim gère un de ces parcs d’importation de véhicules depuis la frontière algérienne qui ont vu le jour dans la ville d’Agadez. Depuis neuf mois, il ne fait que compter les jours et les heures, dans l’espoir que cette frontière va rouvrir. Il explique à RFI comment une voiture qui arrive d’Algérie permet de manger à une vingtaine de personnes. «Il y a les carnets, les transits, la police, la douane…... suite de l'article sur RFI