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Catastrophes naturelles: Hama Amadou au chevet des victimes des inondations
Publié le mercredi 11 septembre 2013   |  Le Canard déchaîné


L’ex-premier
© aNiamey.com par Moussa Sogodogo
L’ex-premier ministre malien Modibo Sidibé, en tournée dans la sous-région, reçu en audience, par SEM Hama Amadou, président de l`assemblée nationale du Niger
Vendredi 12 avril 2013. Niamey (Niger). Modibo Sidibe en visite photo: SEM Hama Amadou, président de l`assemblée nationale du Niger


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Le Président de l’Assemblée Nationale s’est rendu sur les sites inondés de Saga, Liboré et N’Dounga afin de soutenir et réconforter les populations sinistrées.

Ce fut un parcours de combattant qui l’a successivement conduit aux aménagements hydro-agricoles de Saga, de Liboré, de N’Dounga et à l’entrée de Kollo. Il s’agit pour le Président de l’Assemblée nationale de constater l’ampleur des dégâts occasionnés par les eaux du fleuve Niger et s’imprégner des conditions de vie des populations sinistrées. Accompagné des responsables communaux de Niamey, Hama Amadou et sa délégation se sont, à bord des pirogues, rendus sur le site de l’aménagement de Saga. Ils ont trouvé sur place une population motivée qui s’acharne au colmatage de la brèche sur une partie qui peut être sauvée.

La délégation a poursuivi sa navette sur le fleuve jusqu’à la commune rurale de Liboré où environ 280 hectares de périmètres rizicoles ont été inondés. Puis ce fut au tour de N’Dounga d’accueillir Hama Amadou qui s’est rendu sur le site de relogement des populations sinistrées de N’Dounga Taraye, l’aménagement de N’Dounga 1, et le camp des sinistrés installés depuis l’année dernière en face du centre du Service National de Participation. A l’entrée de Kollo, le Président de l’Assemblée Nationale où le président de l’Assemblée Nationale a constaté l’occupation des anciens lits du fleuve par les eaux.

C’est selon Hama Amadou un désastre humain et économique avec des populations riveraines du fleuve et des îles t privées de leurs habitations et d’énormes pertes pour les paysans qui risquent d’être très affectés par deux années successives sans rien produire. Face à ce désastre, dira Hama Amadou, , il est important que des mesures vigoureuses soient prises, le plus rapidement possible, afin qu’il y ait une maîtrise technique des réalisations à faire’ et mener des études sérieuses, relativement à l’écoulement des eaux dans cette zone.

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