Moussa Tchangari, l’un des leaders de la société civile, a été libéré mercredi 27 mai après dix jours de détention. Son tort : avoir critiqué l’évacuation par les autorités des réfugiés du lac Tchad, une zone infiltrée par Boko Haram. Comme lui, de nombreux défenseurs des droits de l’homme sont harcelés par les autorités en vertu de la loi antiterroriste.... suite de l'article sur Jeune Afrique