La situation des personnes déplacées autour du lac Tchad n'en finit plus d'inquiéter, en particulier au Niger, où la situation a empiré depuis fin avril. Quelque 20 000 déplacés y vivent désormais à même le sable ou dans des cases délabrées.
Que s'est-il passé ?
"On s'est assis sur les grands principes de gestion de populations !", tonne le représentant d'une importante ONG sous couvert d'anonymat. "Il y a à Niamey un manque de considération du degré de souffrance et de vulnérabilité des personnes". Plus d'un mois après les faits, la colère ne retombe pas contre le gouvernement nigérien, malgré sa répression des voix discordantes et critiques envers sa politique sécuritaire.... suite de l'article sur Jeune Afrique