Ses moyens militaires qui lui donnaient il y a encore six mois la puissance de feu d’une armée en campagne ont été sévèrement amoindris ; ses rêves de califat ont été brisés ; son chef fantasque et terrifiant, Aboubakar Shekau, est invisible depuis des semaines. Et pourtant Boko Haram prouve jour après jour sa capacité à imprimer la terreur au Nigeria et dans les pays voisins – Tchad, Cameroun et Niger – qui lui ont déclaré la guerre.... suite de l'article sur LeMonde.fr