L'enlèvement des 276 lycéennes de Chibok par Boko Haram avait suscité une mobilisation internationale considérable. 500 jours après leur rapt, la présidente d'Amnesty International France, Geneviève Garrigos, livre des éléments d'explication sur le sort réservé aux jeunes filles.... suite de l'article sur Jeune Afrique