La décision des ministres de la Défense, chefs d’états-majors et experts de dix pays du G5 Sahel, réunis début septembre à Bamako, de mettre en place une force d’intervention rapide au Sahel, traduit la gravité de la menace terroriste et la nécessité de venir à bout des crises sécuritaires qui secouent la région.... suite de l'article sur Autre presse