Hama Amadou ne manquera pas à l’appel. Désigné candidat à la présidentielle de 2016 par son parti, le Mouvement démocratique nigérien (Moden), à Zinder, le 13 septembre, l’ancien président de l’Assemblée nationale promet de rentrer « bientôt » battre campagne, même si le gouvernement menace de l’arrêter dès son arrivée. Mis en cause dans l’affaire des bébés volés, il réside en France depuis un an, mais veut croire en ses chances.... suite de l'article sur Jeune Afrique