Alors que l'indice Mo Ibrahim montre que le continent souffre de problèmes de gouvernance accrus, le FMI pense qu'il devra se contenter d'une croissance de 3,8 % cette année. Mais ces rapports soulignent aussi la diversité de ses pays : quand la Cemac recule, l'UEMOA continue de progresser…... suite de l'article sur Jeune Afrique